Marissa Parren ♦ Chaton parmi les dragons

♦ Marissa est d'un caractère plutôt souple. Elle s'adapte aux situations tant bien que mal et accepte ce qui doit lui arriver.
♦ Conservatrice, elle comprend ce que son père tente de lui inculquer, c'est une femme d'une maison de plus en plus maigre, il faut vite l'agrandir et pour se faire, trouver un époux. Son père n'a eu qu'un fils et quatre filles, il faut donc se débrouiller avec ce qu'il a.
♦ Les valeurs familiales, elle les porte haute. Elle sait que les hommes ont le premier et dernier mot et c'est tant mieux pour eux, si elle tente de comprendre la finesse de la politique, elle ne s'en encombre pas pour autant, comprenant que ce n'est point pour elle de toutes façons. La broderie, la poésie, cela semble être plus pour elle qu'essayer de participer à un débat sur telle ou telle maison.
♦ On ne peut pas dire qu'elle soit bienveillante. Disons que sa bienveillance ne concerne que certaines personnes ; sa famille, l'Ouest, cela s'arrête là.
♦ Cela fait 3 années que la jeune colombe fréquente ser Marpheux, troisième fils du seigneur de la maison de Cendremarc. Mais celui-ci est constamment appelé ça et là. Si elle l'a rencontré lors d'un tournoi, s'il lui a remis une fleur sous les yeux de son père, il semblerait que celui-ci n'est pas remarqué ce que sa fille et ce chevalier faisaient. On ne peut pas dire que Lord Parren soit un homme très attentif à son entourage, plus les années passent et plus celui-ci divague.
♦ Elle apprend vite de son entourage, qui suivre, qui éviter, que dire ou ce qu'il faut taire. Mais elle n'a pas encore toute la finesse d'esprit pour comprendre les subtilités de la Couronne.
♦ Elle tient à ses valeurs. Elle est pure et compte le rester jusqu'à son mariage, mariage que son père choisira. Elle a bien compris que l'amour n'avait pas forcément sa place lors d'un mariage et que l'amour ne faisait pas forcément partis des loisirs d'une femme de son rang.
♦ Elle a tendance à se sous-estimer ainsi que sa famille. Elle pense sa famille plus proche de la fin que du début et doute donc de la puissance de cette famille. De ce qu'elle en sait, celle-ci s'écrase depuis trop longtemps plutôt que se battre.